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Pour acheter un appartement à La Valette-du-Var, pensez à la contrepartie de la domiciliation de vos revenus !

En matière de crédit, les choses changent le 1er janvier prochain. Actuellement, les emprunteurs domicilient leurs revenus dans la banque auprès de laquelle ils souscrivent un crédit immobilier, sans que cette pratique ne soit ni légalement obligatoire, ni encadrée… Et bien dès 2018, cette pratique imposée par les banques ne sera plus permise sans contrepartie de leur part. En effet, l’ordonnance encadrant les règles de la domiciliation bancaire lors de la souscription d’un prêt immobilier a été publiée au Journal Officiel du 3 juin 2017. L’avantage ? Il est intéressant. Et vous allez comprendre pourquoi. Si vous achetez un appartement à La Valette-du-Var, vous pourrez en échange du transfert de vos revenus dans la banque qui finance votre projet obtenir, par exemple, une baisse du taux d’intérêt qui s’applique sur votre prêt.

Actuellement, la plupart des banques consentent implicitement à accorder des taux plus attractifs à la clientèle qu’elles considèrent la plus captive, c’est-à-dire à celle avec laquelle une véritable relation bancaire peut être mise en place. Dès 2018, elles iront plus loin pour être certaines de capter cette clientèle qui les intéresse et elles seront dans leur bon droit puisque la loi les y autorisera. Vous souhaitez acheter un appartement à La Valette-du-Var, faites baisser votre taux d’intérêt puisque la pratique de la contrepartie est désormais officielle en échange de la domiciliation de vos revenus !

« La domiciliation des revenus est un vrai enjeu pour les banques… explique Jérôme Robin, président de Vousfinancer.com. Elle leur assure, outre la mise en place de la relation bancaire et de la rentabilité générée, de capter les ressources nécessaires à l’équilibre de leur bilan, ce qui leur permet également de continuer à prêter… De plus, les comptes courants n’étant pas rémunérés en France, c’est une ressource à moindre coût. C’est pourquoi la plupart des barèmes des banques et les taux accordés dépendent davantage des revenus de l’emprunteur que de son niveau d’apport, avec des écarts pouvant atteindre jusqu’à 1 % au sein d’une même banque.»

O.D. / Bazikpress © Patryssia